Mes lectures de consciences
Hello tout le monde j'espère que vous allez bien, aujourd'hui je vous parle de mes livres préférés, mais qui sont plutôt des lectures sérieuses. Je vais vous présenter 4 livres que j'ai beaucoup aimé, ce sont des livres assez scolaire.
Hamlet de Shakespeare
4e de couvertures :
Le roi du Danemark, père d'Hamlet, est mort récemment. Son frère Claudius l'a remplacé comme roi et, moins de deux mois après, a épousé Gertrude, la veuve de son frère. Le spectre du roi apparaît alors et révèle à son fils qu'il a été assassiné par Claudius. Hamlet doit venger son père et pour mener son projet à bien simule la folie. Mais il semble incapable d'agir, et, devant l'étrangeté de son comportement, l'on en vient à se demander dans quelle mesure il a conservé sa raison. On met cette folie passagère sur le compte de l'amour qu'il porterait à Ophélie, fille de Polonius, chambellan et conseiller du roi. L'étrangeté de son comportement plonge la cour dans la perplexité. Mis en cause à mots couverts par Hamlet, Claudius perçoit le danger et décide de se débarrasser de son fantasque neveu.
(il n'y avait pas de 4e de couvertures alors j'ai pris le résumé Wikipédia)
Les Fleurs du Mal de Baudelaire
4e de couverture :
Avec Les Fleurs du Mal commence la poésie moderne : le lyrisme subjectif s'efface devant cette "impersonnalité volontaire" que Baudelaire a lui-même postulée ; la nature et ses retours cycliques cèdent la place au décor urbain et à ses changements marqués par l'Histoire, et il arrive que le poète accède au beau par l'expérience de la laideur. Quant au mal affiché dès le titre du recueil, s'il nous apporte la preuve que l'art ici se dénoue de la morale, il n'en préserve pas moins la profonde spiritualité des poèmes.
D'où la stupeur que Baudelaire put ressentir quand le tribunal de la Seine condamna la première édition de 1857 et l'obligea à retrancher six pièces du volume. En 1861, la seconde édition fut augmentée de trente-cinq pièces, puis Baudelaire continua d'écrire pour son livre d'autres poèmes encore. Mais après la censure, c'est la mort qui vint l'empêcher de donner aux Fleurs du Mal la forme définitive qu'il souhaitait - et que nous ne connaîtrons jamais
Émile ou de l'éducation de Rousseau
4e de couverture :
a publication de l'Emile, en 1762, restitue au problème de l'éducation sa place central en philosophie. De ses premier mois jusqu'à la rencontre amoureuse, Émile est suivi dans chaque étape, à travers des expériences qui attestent d'abord le souci de considérer "l'enfant dans l'enfant", au lieu de le sortir de son âge. Rousseau montre qu'il est possible d'éduquer un homme selon la nature et de quelle façon les vices et l'inégalité caractérisent désormais la condition humaine : double enjeu qui constitue sa "théorie de l'homme".
La richesse incomparable de ce maître-livre tient aussi aux tensions qui le parcourent. Rousseau refuse le péché originel mais il doit rendre raison du mal et de la souffrance que ce dogme interdisait d'ignorer ; il critique les philosophes de sont temps mais il pousse à ses limites leur méthode empiriste ; il proclame : "je hais les livres", mais il fournit le panorama le plus juste et le plus instruit de la culture du XVIIIe siècle, en face de l'Encyclopédie et, pour partie, contre elle.
Parus ensemble, Émile et le Contrat Social furent condamnés à Paris puis à Genève : la force du traité d'éducation n'échappa pas aux censeurs, même si Rousseau prétendait ne livrer que "les rêveries d'un visionnaire". Car la forme même de la fiction arrache l'ouvrage aux circonstances : pas plus que ses lecteurs des Lumières, nous ne sommes à l'abris de ses leçons.
4e de couvertures :
Prenons en considération la genèse psychique des représentations religieuses. Celles-ci, qui se donnent pour des dogmes, ne sont pas des précipités d'expériences ni des résultats d'une pensée, ce sont des illusions, des accomplissements des désirs les plus anciens, les plus forts, les plus urgents de l'humanité ; le secret de leur force est la force de ces désirs.