Behind the blogger
Hello tout le monde j'espère que vous allez bien, aujourd'hui je relève un défi. Ma blopine Les Petites Jasettes m'a mis au défi de vous révéler quatre choses que vous ne connaissez pas sur moi, alors c'est partie.
J'ai énormément de TOC.
Je dirais que les plus flagrant c'est mon TOC de symétrie, ça peut vraiment beaucoup me perturber si c'est pas parfaitement symétrique, parfaitement droit et ordonner. Mais aussi, mon TOC de vérification, ou je vérifie 2 ou 3 fois que la porte est bien fermé par exemple, ou que le gaz est bien éteins. Je suis aussi très routinière, et j'aime que les choses soit bien cadrer, que chaque chose soit à sa place et faite en temps et en heures.
J'ai des troubles dys.
Ca ne se voit pas, ou pour être exacte ça ne se voit plus mais j'ai plusieurs troubles dys, notamment la dyslexie, la dysphasie, la dyscalculie et la dyspraxie. J'ai fais de nombreuses années d'orthophonies, j'ai eu des tiers temps, des exercices adaptés tout le long de la primaire et du collège.
Aujourd'hui, ça se voit beaucoup moins car j'ai toujours été bien encadré mais surtout j'ai appris à vivre avec et à m'adapter. Celui pour lequel j'ai fais les plus gros efforts, c'est ma dyslexie, je fais maintenant assez peu de fautes parfois même moins que des gens qui ne le sont pas c'est une vrai revanche.
Pour ma dysphasie, j'ai appris à d'abord éviter les oraux puis quand je n'ai pas le choix à savoir me concentrer et m'organiser pour que ça ne se voit pas trop, généralement, on pense surtout que je suis très stressée (ce qui est vrai) mais rien de plus.
Les deux seuls qui parfois et même souvent m'handicape encore c'est ma dyscalculie et ma dyspraxie. Je mets énormément de temps et j'ai beaucoup de mal à effectuer certain calcule même les plus simple. Dans mon cerveau, le calcul ne se fait pas immédiatement, je dois visualiser chaque chiffre de l'opération (avec une couleur) et poser tout le calcul dans ma tête, et c'est long (c'est pour ça que souvent j'essaie de poser sur papier si c'est possible), c'est également ce qui fait que je ne connais pas très bien toutes mes tables de multiplication. Mais on s'en sort très bien avec du travail.
Pour ma dyspraxie c'est assez simple j'ai assez peu de reflexe (ne m'envoyer pas une balle, je ne sais pas la rattraper), je suis également assez nulle en sport. La coordination entre mes mouvements, mon repère dans l'espace se fait mal
J'ai perdu ma mère quand j'avais 16 ans.
Ce n'est pas vraiment un secret, j'en avais rapidement parler dans mon article où je vous raconte mon parcours scolaire et universitaire, mais il est vrai que j'en parle assez peu voire pas du tout, alors que ça ne me dérange pas du tout d'en parler, au contraire j'aime faire vivre sa mémoire, mais j'ai souvent peur de mettre les gens mal à l'aise car c'est plus souvent les gens qui sont gênés que moi lorsqu'on aborde le sujet. Je sens que tout de suite ils sont mal à l'aise et plus fermé.
Ma mère est décédée en 2014 d'un cancer du col de l'utérus qui n'avait pas été pris à temps. Elle a été malade pendant deux ans avant de s'éteindre à 38 ans. Ca n'a pas été facile tous les jours aussi bien tout le long de la maladie, qu'après et le temps de faire son deuil. Mais ça a aussi été un soulagement, vivre la maladie d'un parent ce n'est pas facile, encore moins enfant. J'avais 14 ans quand ma mère est tombée malade et 16 quand elle nous a quitté, et mes petites sœurs ont 2 et 4 ans de moins que moi, ça à été encore plus difficile pour elles, car elles étaient vraiment très jeunes. On ne parle que très peu de la violence du cancer, et de ce que c'est que voir ses proches déclinés tout doucement, de la violence des chimios, des douleurs, des médicaments, de la fatigue. Ce n'est facile pour personne et encore moins pour des enfants. Mais j'ai été étonnée par la suite du nombre d'enfants qui comme moi avait perdu un parent tôt, c'est plus commun qu'on ne pourrait le penser.
Aujourd'hui nous avons toujours nôtre père avec qui nous vivons et ce drame nous a tout de même rapproché, mais ne nous a pas empêcher de vivre, grandir et évoluer. Nous pensons toujours à elle évidemment, et parfois elle nous manque forcément, mais la vie continue ici. D'ailleurs si un jour vous voulez que l'on parle du deuil parental, de ce que c'est de perdre un parent, qui plus est quand on est jeune, je serai prête à faire un article.
Je suis thalassophobe.
Je vous avais déjà parler de ma phobie des insectes (oui même les mouches), mais pas de ma thalassophobie. Alors non, je n'ai pas peur de faire des thalasso, j'ai peur des profondeurs et des fonds marins. C'est d'ailleurs une peur très commune, car on connait assez peu nos fonds marins (on connait bien mieux l'espace que ce qui se passe dans les profondeurs de nos océans). Je vais assez peu à la mer (et pas que parce que j'habite à Paris et que c'est pas à côté) car je passe la majorité du temps sur la plage, si je me baigne c'est généralement jusqu'au genoux jamais plus haut que la hanche. J'ai même peur de voir des méduses alors que quand je vais à la plage c'est en Normandie, y a pas vraiment de méduses là-bas.
Je remercie beaucoup Les Petites Jasettes pour ce défi, que j'espère avoir relevé correctement, j'ai essayé de trouver des choses dont je n'avais jamais vraiment parlé même si ce ne sont pas vraiment des secrets à proprement parler car il n'y a rien de particulièrement secret là-dedans. J'ai choisi de lancé ce défi à deux blogueuses.
Ingrid (Une Pétillante) et Sandy (Sandy's Beauty Diary)
J'espère que cette revue vous aura plu, n'hésitez pas à me laisser un petit commentaire et à vous abonner à la newsletter, à bientôt.